Le généreux soutien de Manuvie permettra d’évaluer et de renforcer notre capacité à créer des opportunités économiques inclusives pour les jeunes et les communautés autochtones à travers l’initiative Cerveau@Travail. Ce programme évolutif utilisant des approches thérapeutiques innovantes permet aux jeunes adultes vivant avec une maladie mentale de trouver et de poursuivre leur cheminement de carrière.
Cerveau@Travail utilise des techniques fondées sur des données probantes et des pratiques d’intervention psychosociale visant à doter les jeunes souffrant de maladie mentale des outils dont ils ont besoin pour conserver leur emploi et fonctionner correctement sur leur lieu de travail. Ce faisant, ils développent un sentiment d’appartenance amélioré, des compétences et des relations sociales inestimables, ainsi qu’une résilience face à l’adversité.
« Grâce à son programme d’impact, Manuvie s’engage à améliorer la qualité de vie grâce à trois piliers interconnectés, notamment la création de possibilités économiques inclusives afin de créer des règles du jeu plus équitables pour tous », a déclaré Joanna Marcovici, directrice, Investissement communautaire – responsable du Canada. « C’est pourquoi nous sommes fiers de soutenir le travail qu’accomplit la Fondation Douglas par le biais de l’initiative Cerveau@Travail pour aider à donner aux jeunes adultes des communautés autochtones une chance équitable de réussir. »
Les résultats d’une étude pilote menée par Dr Martin Lepage, directeur scientifique adjoint du Centre de recherche Douglas, et éminent expert en santé mentale des jeunes et en intervention précoce, suggèrent que la méthode est efficace.
L’étude a montré que Cerveau@Travail:
- aide les participants à conserver leur emploi;
- permet une motivation et une confiance accrues ;
- facilite les expériences de connexion sociale;
- améliore les capacités cognitives;
- aide à la régulation du comportement émotionnel.
« Le taux de chômage parmi les personnes vivant avec une maladie mentale est élevé. C’est pourquoi nous sommes ravis du soutien de Manuvie qui permettra de créer des opportunités pour des jeunes dans le besoin qui ont une forte volonté de travailler », affirme Laura Fish, présidente et cheffe de la direction de la Fondation Douglas.
On estime que 30 % des personnes souffrant de dépression ou d’anxiété sont au chômage ; pour les personnes souffrant de formes plus graves de maladie mentale, le taux de chômage peut atteindre de 70 à 90 %.
Nous sommes fiers de collaborer avec Manuvie pour trouver des solutions tangibles qui bâtissent l’espoir et permettent de retirer plusieurs obstacles professionnels aux jeunes adultes dont la vie a été bouleversée par la maladie mentale.